Comment utiliser les MOOCs pour la transmission des savoirs dans un contexte de départ à la retaite ? Etude de cas : l’exemple de Solvay

« Solvay a été accompagné par LearnAssembly pour construire ce Mooc d’entreprise mondial. La démarche de conception a consisté à réaliser un transfert de connaissances brut afin que l’équipe pédagogique LearnAssembly s’approprie le contenu de la formation et identifie les bons formats et modalités pédagogiques pour concevoir le parcours, en anglais. »

Transformation des organismes de formation : le cas d’Abilways Digital

« Abilways Digital propose donc une offre multimodale et flexible, avec des formats présentiels réinventés, une variété de parcours et un point d’entrée unique vers l’ensemble des stages disponibles. Et pour faire connaître la marque auprès de décideurs, un media corporate a été lancé afin de positionner une marque au ton décalé, humain, résolument digital. »

MOOC et Intelligence Artificielle : comment sensibiliser aux enjeux de l’intelligence artificielle dans un contexte de transformation des métiers ? Exemple de BNP Securities Services

« Fort de la conviction qu’un Mooc ou un format e-learning classique ne fonctionnerait qu’auprès d’un public déjà convaincu par l’intérêt du sujet, la démarche proposée par LearnAssembly a consisté à s’intéresser aux croyances et comportements des collaborateurs de BNP Securities Services pour trouver la bonne manière de les former à ce sujet complexe »

Digital Learning : et si on arrêtait de parler du taux de complétion ?

« Le digital learning ne fonctionne pas, le taux de complétion est très faible”; “tout le monde sait que le taux de complétion des Moocs se situe entre 5% et 10%”. Derrière ce constat négatif, se cachent de nombreux biais, croyances et approximations. Comment repenser notre manière d’évaluer le succès d’une formation digitale ? »

60 idées pour Macron : et si la formation devenait une obligation et non plus un droit ?

« Le compte personnel de formation (CPF) est une bonne initiative et fait revenir la formation à l’échelle de l’individu. Mais comment inciter les gens à exercer un droit dont ils n’ont pas conscience d’avoir besoin ? Il faut reconnaître l’échec du CPF : le nombre de demandes reste faible, les individus comprennent mal le dispositif, et les critères d’éligibilité sont inadaptés. »