Learn Assembly a interviewé Charles-Eliott Debourdeau, CEO de GlobalExam, EdTech spécialiste de la formation linguistique ultra-personnalisée.
Article sponsorisé. Rédigé dans le cadre d’un partenariat entre GlobalExam et Learn Assembly Papers.
… Charles-Eliott, étudiant à Sciences Po Lille, qui était sur le point de réaliser son rêve : étudier un Master 2 à la London School of Economics. Et oui, cette université sélective et de renom a choisi SON dossier, parmi 1000 autres. Heureux, il n’a qu’une envie : partir à la découverte de ces nouvelles contrées outre-Manche. Seul bémol, un score insuffisant au TOEFL. Loin d’être prêt à abandonner, il se rend de ce pas au Furet du Nord sur la Grand’place de Lille et achète un guide de formation à l’anglais avec CD-ROM, ni plus ni moins.
Mais nous sommes alors en 2010 et son lecteur ne lit plus les CD-ROM. Charles-Eliott se met donc à chercher d’autres ressources. « Ce que je n’ai pas trouvé sur internet, c’est de la préparation en ligne pour me mettre dans les conditions de l’examen. J’ai raté deux fois le TOEFL, j’ai payé deux fois 250€ de ma poche et je n’ai pas pu finir mes études à la London School of Economics ». Un rêve quelque peu tombé à l’eau.
Mais Charles-Eliott a d’autres cordes à son arc et se met à explorer des territoires plus lointains. Il commence alors à travailler à l’Ambassade de France en Chine. C’est à ce moment qu’il observe un phénomène des plus curieux ; une foule de jeunes chinois qui font la queue à chaque début d’année devant les établissements où se tiennent les examens de langues pour partir étudier à l’étranger. C’est là qu’il se rend compte que son histoire est loin d’être unique, et encore moins française. SCOOP : les enjeux de langues sont mondiaux. Les parents chinois qui veulent que leurs enfants « réussissent dans la vie » sont aussi concernés.
Après deux ans passés dans le monde de la diplomatie en Chine, Charles-Eliott rentre en France en 2013. Il se fait soutenir par le réseau entreprendre et la BPI pour monter une plateforme d’entraînements aux examens de langues. C’est le début de GlobalExam, qui compte aujourd’hui 1,5 million d’utilisateurs.
"Pour réussir en BtoB, il faut à la fois délivrer la promesse pour l’apprenant – c’est-à-dire l’aider à réussir sa certification – mais aussi apporter de la valeur à l’enseignant", Charles-Eliott Debourdeau
GlobalExam se distingue des autres plateformes de formation et de préparation aux tests de langue par différents moyens. Tout d’abord, par l’approche métaphysique de l’entrepreneuriat qu’adopte Charles-Eliott. « Je trouve cela fascinant de créer ensemble de la valeur pour des gens qui dépensent de l’argent pour notre produit. Pour moi, la valeur qu’on leur apporte doit être supérieure au prix qu’ils dépensent ».
Ensuite, « au-delà de la valeur marchande et pédagogique de notre offre, nous voulons transmettre du plaisir dans l’apprentissage. Permettre aux clients de vivre une expérience d’apprentissage unique ».
Cette expérience apprenante se matérialise par 3 principes :
"Ce qui nous différencie des approches BtoC, c’est notre positionnement pédagogique par objectif."
En somme, le positionnement de GlobalExam est unique. « Nous prenons le meilleur du BtoC en adoptant une stratégie « customer-centric » (logique de micro-learning, focus sur l’expérience utilisateur) et le meilleur du BtoB en offrant une formation certifiante de qualité et sérieuse(franchissement de niveaux, obtention de scores…) ».
« Ce qui nous différencie des approches BtoC, c’est notre positionnement pédagogique par objectif. Nous aidons nos clients à définir un but précis d’apprentissage afin de leur pousser du contenu qui va leur permettre de l’atteindre ». Voici un exemple :
« Notre croyance, c’est que l’engagement n’est pas un sujet si la pédagogie est centrée sur des objectifs opérationnels compris par les apprenants ».
GlobalExam part d’un constat : beaucoup d’acteurs du secteur des compétences en langues se spécialisent soit dans l’évaluation, soit dans la formation, soit dans la certification. « Nous, on fait les trois », nous partage Charles-Eliott. « Nous évaluons dès le début les compétences de l’apprenant et l’aidons à définir ce qu’il souhaite faire. Puis nous le formons avec un parcours par objectif. Enfin, nous lui proposons des micro-certifications sur des compétences qui lui seront utiles dans son quotidien professionnel et qui l’aideront à monter les échelons (par exemple pour un commercial : prospecter au téléphone en anglais) ». Cette approche a notamment permis à GlobalExam d’obtenir un taux d’utilisation de la plateforme par les entreprises clientes de 100%.
Au sein des entreprises règne souvent la croyance qu’il n’y a pas de lacunes en langue. Cela s’explique en partie par l’une des stratégies de recrutement les plus communes. Il est facile de croire que les personnes qui ont un Bac+5 et ont fait une césure à l’étranger ou un Erasmus sont aptes à travailler dans un environnement professionnel international. Mais pour Charles-Eliott, « c’est loin d’être le cas. Ce n’est pas parce qu’on a fait des études supérieures que l’on sait utiliser les langues pour répondre à ses besoins professionnels au quotidien ». Il souligne cependant que ce manque de maîtrise ne devient un frein qu’en fin de première partie de carrière, ou en début de deuxième partie, quand il est déjà assez tard.
Par ailleurs, la population la plus demandeuse de formations GlobalExam aujourd’hui est la plus employable. Elle se constitue de jeunes de 25-30 ans, qui ne sont pas en poste dans de grandes entreprises. Ils ont développé l’habitude de s’auto-former et ont observé un décalage important entre leurs compétences réelles et les attentes des managers.
Ce décalage explique d’autre part le manque de formation qualitative en langues au sein des entreprises. En effet, quand l’anglais est utilisé de manière ponctuelle, les collaborateurs suivent des formations récurrentes mais ponctuelles et surtout, sans objectifs précis. Ils acquièrent donc des compétences qu’ils n’ont jamais, ou rarement, l’occasion d’utiliser et repartent de zéro tous les ans. Le problème réside donc principalement dans le fait que les formations linguistiques proposées ne sont pas suffisamment personnalisées pour répondre à des objectifs précis permettant de booster la carrière des collaborateurs.
Des collaborateurs qui se retrouvent donc souvent « coincés » à un certain moment de leur carrière, lorsqu’ils veulent monter en responsabilités, ou se reconvertir. Le sujet de la confiance devient ici primordial. Pour y faire face, GlobalExam a créé la notion de parcours avec des étapes et des jalons atteignables les uns après les autres.
La première étape sur laquelle se concentre GlobalExam, c’est d’aider les apprenants à affiner leur finalité. Au lieu d’arriver au niveau B2 en anglais, mieux vaut déterminer les compétences qu’ils veulent développer pour atteindre leurs objectifs professionnels. Il peut s’agir de compétences généralistes, comme être à l’aise pour répondre au téléphone. Ou de compétences métiers, liées à l’industrie, au secteur ou encore à l’environnement professionnel de l’apprenant.
D’autre part, GlobalExam a pris le parti de personnaliser la plateforme au maximum pour accompagner et motiver les apprenants. Et cela semble fonctionner. En effet, environ 20% des utilisateurs ont 50 ans ou plus et décident de s’auto-former, notamment dans les digital skills.
Une tendance accélérée par la crise sanitaire de la COVID-19, qui a révélé la capacité d’un nombre grandissant de personnes à franchir ce palier.
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